Toujours sur ces gardes, ce magnifique lièvre ne m’a laissé le temps de faire une seule image avant de bondir en direction de la forêt. Un seul regret, qu’il ait préféré s’arrêter dans l’ombre plutôt que dans la lumière située quelques tous petits centimètres plus loin…
Travers, le 24 mai 2012
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