Quand le Martin-pêcheur décide de se poser à quelques petits mètres de l’affût, l’émotion est à son comble. Si l’atterrissage (ou plutôt “l’abranchissage”) de la flèche bleue est souvent annoncé par un cri strident caractéristique, le décollage est toujours imprévisible. Malgré une attention soutenue, je n’ai toujours pas réussi à saisir l’envol comme je le souhaitais… La prochaine fois peut-être?
Neuchâtel, le 17 août 2013
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